[vc_row][vc_column][vc_single_image image=”6550″ img_size=”large” alignment=”center” onclick=”img_link_large”][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width=”2/3″][vc_column_text]Souvent appelée l’île Renard, il faudrait lui préférer le pluriel car les anciens la nommaient « Enez Lern ». (“Renard“, au singulier se dit « louarn » mais respectons la tradition… reconnaissons que « lern » est le pluriel !). Cliquez, ci-contre, sur l’extrait du cadastre de 1819 [/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/3″][vc_single_image image=”7014″ img_size=”medium” alignment=”center” style=”vc_box_outline” border_color=”chino” onclick=”img_link_large” img_link_target=”_blank”][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_separator color=”green” style=”shadow” border_width=”3″ el_width=”30″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width=”1/2″][vc_column_text]
Elle est proche voisine de
l’île Canton (Aganthon).
Une étroite bande rocheuse
les relie.
[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/2″][vc_single_image image=”6605″ img_size=”medium” alignment=”center”][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]L’intense extraction de granit dont elle fut l’objet (dès 1887) a défiguré son estran.
Les déchets de taille jonchent les rochers.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_separator color=”green” style=”shadow” border_width=”3″ el_width=”30″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width=”1/2″][vc_column_text]Dans sa partie la plus haute,
les ruines d’un abri de carriers
témoignent de ce passé.
Cliquez sur l’image
[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/2″][vc_single_image image=”6610″ img_size=”large” onclick=”img_link_large” img_link_target=”_blank”][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Dans le Tome V de “Voyage en France, îles de la Manche et Bretagne péninsulaire”, Ardouin-Dumazet écrivait (à la fin du XIXème) :[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image=”6732″ img_size=”large” alignment=”center”][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_separator color=”green” style=”shadow” border_width=”3″ el_width=”30″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]
Voici ce qui se dit à ce propos…
Après quelques travaux rendant le bâtiment un peu plus habitable, un homme, sa servante et sa fille Micheline s’y installent sans donner à quiconque l’occasion d’y pénétrer.
Chaque fois que la marée le permet, la douce jeune fille rend d’aimables visites à quelques personnes âgées d’Enez Veur (île-Grande) ; selon le temps qu’il fait, elle choisit de passer à pied par le « Carpont » et Beg ar Staon, à moins qu’elle ne décide de traverser les grèves de Canton ou d’arriver par la Pointe de Crech al Lannic !
La servante se risque parfois jusqu’à Beg ar Staon où vivres, tabac et alcool lui sont livrés.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Nul n’a pu voir celui qui, par n’importe quel temps, se rend en bateau jusqu’à la redoutable roche « Ouerserez» où Ahès, la fille du roi d’Is, avait son palais et ses trésors.
Il a pour mousse le jeune Michel Saliou qui, terrorisé n’a jamais dit un seul mot sur celui qui l’embauche.
Mais un jour, alors qu’on n’y croyait plus, le jeune île-grandais Santic Costoëc revient au pays…
Et c’est ainsi que l’imaginaire breton nous emmène vers ce qui pourrait bien être réalité !
Bibliographie « Le Pirate de l’île de Lern » de Charles Le Goffic
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[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_separator color=”green” style=”shadow” border_width=”3″ el_width=”30″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]
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